EXCLURE, PERSÉCUTER, RÉINTÉGRER
Des victimes de la législation antisémite à la faculté de droit de Paris (1940-1945)
La « vieille maison du Panthéon » à l’orée de la guerre
La faculté de droit de Paris en 1939 : « la vieille maison du Panthéon » et son rayonnement
L’antisémitisme à la faculté de droit de Paris avant 1939
Entre contraintes et adhésion : la faculté de droit, Vichy et l’occupant
Le fonctionnement de la faculté de droit de Paris pendant l’occupation allemande (1940-1944) – I. Les instances de la faculté
Le fonctionnement de la faculté de droit de Paris pendant l’occupation allemande (1940-1944) – II. Les étudiants
L’application de la législation de Vichy à la faculté de droit
Professeur de droit et recteur pendant l’Occupation : Gilbert Gidel, un maréchaliste hostile à la collaboration
Cinq professeurs victimes
Un économiste éminent : Albert Aftalion
René Cassin, un juriste libre
Face à l’antisémitisme d’État, les combats d’Henri Lévy-Bruhl
William Oualid, un professeur engagé
Roger Picard, un défenseur des droits de l’homme en exil
Des déportés et des résistants
Les professeurs de droit face à la législation antisémite
Étudiants et anciens étudiants de la faculté de droit de Paris
victimes de la Shoah
Du droit aux actes : des professeurs de la faculté de droit de Paris en résistance
François Lyon-Caen : un jeune avocat aux conseils face aux persécutions
La Libération et après : hommages et silences
La Libération et au-delà : réintégrations, épurations, silences
1945-1951 : construire la mémoire de la Seconde Guerre mondiale à la faculté de droit de Paris
« [Lettre de Gabriel Le Bras] »,
Dossiers des fonctionnaires de l’Instruction publiqe et des Beaux Arts
, 23 décembre 1953
Source Archives nationales, F17/27/357